Vous aviez l'habitude d'admirer les compositions à sujets religieux campés dans une architecture selon la tradition des vitraux d'églises ou de chapelles funéraires.
Ci-dessous voici une verrière qui témoigne du génie créatif de Vantillard et de son savoir faire hors cadre officiel  & religieux. Ce paysage japonisant orne la fenêtre d'un cabinet de toilette du Château de la Navette à Flixecourt (Somme), demeure de l'industriel, Jean-Baptiste Saint qui dirigea l’ensemble des usines Saint Frères et dont la fortune était liée à la découverte de la fibre de jute. Ainsi le 17 janvier 1886, Édouard Corroyer, architecte diocésain de Soissons devenu inspecteur général, publie dans Le panthéon de l’industrie : journal hebdomadaire illustré, un article élogieux sur Vantillard vantant ses mérites et le qualifiant de "précurseur pour les verrières d’appartement".